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moquaddem saighi abderrahmane 1868
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moquaddem saighi abderrahmane 1868
LES CONFRERIES DU CERCLE D’AIN-BEIDA(**)
Les zaouïa et confréries religieuses au environ de 1868 et
les plus importantes sont au nombre de cinq (05) :
a) La principale, celle des tidjania, réunit environ 100 khouans ou adeptes sous la direction du moqaddem Hamou Ali Soufi. Ce personnage dépend de de la grande zaouia de Témacin qui fait rayonner son influence, grâce à lui, dans les douars environnants. Ain-Beida est , d'ailleurs le lieu d'estivage du marabout de Temacin qui a aussi son influence dans la commune mixte d'Oum el bouaghi où il possède d'exellentes terres de labour au douar d'Ain-Babouche. Il faisait labourer ses terres au moyen de la
"touiza" durant un certain temps.
b) Le groupement avec zaouia, le plus important, après celui des Tidjania, est celui des Qadiria.Il compte 70 adeptes dirigés par Hadj Said, moqaddem de l'obédience de Si Qaddour, du Kef (Tunisie). Chaque année, au printemps, les qadiria d'Ain-Beida vont chez ce dernier en ziara (pélerinage) et lui apportent leur offrande.
c) La zaouia des Rahmania ne sert guère qu'à 50 serviteurs des deux zaouia de Tolga et de Nefta qui y vont en nombre égal; mais aucun groupe n'a de mouqaddem spécial en ville même. Chaque année, après la moisson, Si Brahim, envoyé spécial du Cheikh de Nefta, descend dans cette zaouia et y reçoit les offrandes des affiliés à sa confrérie.
d) Les Aiçaoua au nombre de 50 environ, ont aussi une zaouia où, 4 ou 5 fois par an, ils se livrent à leurs exercices sous la direction du moqaddem Moussaoui l'Houssine, Seuls, les membres de la basse classe font partie de cette confrérie.
Nb : dans les quatre zaouia ci-dessus le Coran est enseigné aux jeunes enfants de leurs adeptes. Il y a lieu de signaler une cinquième zaouia qui sert de lieu de réunion aux adeptes des Alaouia de Nefta.Ils sont, ici, au nombre d'une quarantaine sous la direction du moqaddem Allaoua Tahar.
e) Les Chadheliya: (environ 30 adeptes) n'ont pas de zaouia spéciale. Ils sont de la branche du douar Tamza (Khenchela branche des Chadhelia-Nacéria de Khanga Sidi Nadji). Leur moqaddem se nomme SAIGHI Abderrahmane. Leurs réunions ont lieu à la mosquée de la ville.
f) Il reste à signaler quelques 'Ammaria disséminés dans la commune, environ une vingtaine, la plupart originaires des environs de Guelma. Leur moqaddem se nomme Khalifat Rabah.
Quelques religieux musulmans, amenés par les intêrets du commerce ou par les travaux publics le long de la route Nefta-Tébessa-Ain Beida y ont essaimés l'état sporadique. Tels sont les Sallamia tripolitains dont le moqaddem Abdel Hafid ben Ali réside à la Meskiana. Peut-être doit on signaler aussi, dans le même cas, les négociants Djerba qui sont Ibadites de tendance à s'installer le long de la même route.
g) Mzara (un but de pélerinage) : la commune, de plein exercice, ne comprend qu'un seul douar, celui d'Oulmène. La vie religieuse musulmane, comme la vie économique, y est sous l'influence directe des citadins indigènes d'Ain-Beida. Dans cette dernière localité, intra-muros, se trouve un maqam (lieu) sans importance consacré à Sidi Abdelkader El Djilali. Les femmes, quelques hommes supersticieux, seuls, le fréquentent et y font bruler l'encens.
Il n'y a pour ce maqam ni moqaddem ni oukil.
(**) Sources : L. Charles Féraud interprete de l'armee d'afrique et ministre de france a TANGER de 1885 à 1888.
Les zaouïa et confréries religieuses au environ de 1868 et
les plus importantes sont au nombre de cinq (05) :
a) La principale, celle des tidjania, réunit environ 100 khouans ou adeptes sous la direction du moqaddem Hamou Ali Soufi. Ce personnage dépend de de la grande zaouia de Témacin qui fait rayonner son influence, grâce à lui, dans les douars environnants. Ain-Beida est , d'ailleurs le lieu d'estivage du marabout de Temacin qui a aussi son influence dans la commune mixte d'Oum el bouaghi où il possède d'exellentes terres de labour au douar d'Ain-Babouche. Il faisait labourer ses terres au moyen de la
"touiza" durant un certain temps.
b) Le groupement avec zaouia, le plus important, après celui des Tidjania, est celui des Qadiria.Il compte 70 adeptes dirigés par Hadj Said, moqaddem de l'obédience de Si Qaddour, du Kef (Tunisie). Chaque année, au printemps, les qadiria d'Ain-Beida vont chez ce dernier en ziara (pélerinage) et lui apportent leur offrande.
c) La zaouia des Rahmania ne sert guère qu'à 50 serviteurs des deux zaouia de Tolga et de Nefta qui y vont en nombre égal; mais aucun groupe n'a de mouqaddem spécial en ville même. Chaque année, après la moisson, Si Brahim, envoyé spécial du Cheikh de Nefta, descend dans cette zaouia et y reçoit les offrandes des affiliés à sa confrérie.
d) Les Aiçaoua au nombre de 50 environ, ont aussi une zaouia où, 4 ou 5 fois par an, ils se livrent à leurs exercices sous la direction du moqaddem Moussaoui l'Houssine, Seuls, les membres de la basse classe font partie de cette confrérie.
Nb : dans les quatre zaouia ci-dessus le Coran est enseigné aux jeunes enfants de leurs adeptes. Il y a lieu de signaler une cinquième zaouia qui sert de lieu de réunion aux adeptes des Alaouia de Nefta.Ils sont, ici, au nombre d'une quarantaine sous la direction du moqaddem Allaoua Tahar.
e) Les Chadheliya: (environ 30 adeptes) n'ont pas de zaouia spéciale. Ils sont de la branche du douar Tamza (Khenchela branche des Chadhelia-Nacéria de Khanga Sidi Nadji). Leur moqaddem se nomme SAIGHI Abderrahmane. Leurs réunions ont lieu à la mosquée de la ville.
f) Il reste à signaler quelques 'Ammaria disséminés dans la commune, environ une vingtaine, la plupart originaires des environs de Guelma. Leur moqaddem se nomme Khalifat Rabah.
Quelques religieux musulmans, amenés par les intêrets du commerce ou par les travaux publics le long de la route Nefta-Tébessa-Ain Beida y ont essaimés l'état sporadique. Tels sont les Sallamia tripolitains dont le moqaddem Abdel Hafid ben Ali réside à la Meskiana. Peut-être doit on signaler aussi, dans le même cas, les négociants Djerba qui sont Ibadites de tendance à s'installer le long de la même route.
g) Mzara (un but de pélerinage) : la commune, de plein exercice, ne comprend qu'un seul douar, celui d'Oulmène. La vie religieuse musulmane, comme la vie économique, y est sous l'influence directe des citadins indigènes d'Ain-Beida. Dans cette dernière localité, intra-muros, se trouve un maqam (lieu) sans importance consacré à Sidi Abdelkader El Djilali. Les femmes, quelques hommes supersticieux, seuls, le fréquentent et y font bruler l'encens.
Il n'y a pour ce maqam ni moqaddem ni oukil.
(**) Sources : L. Charles Féraud interprete de l'armee d'afrique et ministre de france a TANGER de 1885 à 1888.
tarak ben mohamed seghir- Nombre de messages : 11
Localisation : constantine
NOM de Famille : SAÏGHI
Père : MOHAMED SEGHIR
Grand Pére : BELKACEM
Date d'inscription : 07/12/2008
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